• Salem Ben Ammar

    L’islam n’a pas besoin d’être haï, il est la haine personnifiée

    Salem Ben Ammar

    Jan 3

    Il est à rappeler à tous ceux qui s'offusquent et s'enflamment parce que leur religion serait offensée qu'ils fassent preuve d'un même état d'esprit pour défendre l'honneur de leur patrie parce qu'il y va de leur propre pérennité humaine contre l'instrumentalisation de leur propre religion à des fins impériales et politiques.
    Personne ne critique l'Islam, c'est le comportement de leurs coreligionnaires fanatiques, haineux, raciste, ignominieux, suffisant, méprisant, nombriliste, qui nourrit les peurs de l'Islam et jetant le discrédit sur eux-mêmes du fait de leur silence complice et leur peu d'entrain à défendre les vraies valeurs humaines comme on a pu l'observer lors de l'affaire Mohamed Merah. La question n'est pas de savoir s'il s'agit de l'islam dévoyé et dénaturé par les leurs, le constat que l'on fait tous est la représentation qu'ils véhiculent de l'Islam qui suscite notre rejet de cette religion.
    Qu'ils donnent une image plus humaine et apaisée de leur religion et plus personne ne peut éprouver la moindre phobie de l'Islam. Tant qu'ils continuent à répandre la violence et la terreur au nom de leur religion, ils ne peuvent que s'en prendre à eux-mêmes de faire de leur religion le cauchemar de notre humanité. L'islamaphobie que le législateur assimile à un délit n'est rien d'autre qu'un état de troubles psychiques comme l'agoraphobie ou l'hydrophobie qui désigne un état de profondes inquiétudes obsédantes et de crainte angoissante irraisonnée et irrépressible pouvant induire des situations de panique incontrôlée. Ainsi l'Islam tel que ses adeptes le promeuvent et le définissent passe pour être un facteur déclenchant au même titre comme d'autres éléments, animal, espace, foule, objet, etc... engendre des réactions de blocages et d'inhibitions psychiques accompagnées par une hostilité et aversion inexpliquées ressenties comme un mode de défense, un espèce de verrouillage psychologique contre ce que l'on considère comme un élément d'agression extérieure de nature morbide. Ceux que l'on considère comme étant des islamophobes sont surtout des sujets atteints d'une grave souffrance psychique née du climat souvent apocalyptique que font régner les activistes musulmans qui au lieu de rassurer le monde sur leur religion lui donne contenu dogmatique absurde, insensé, suranné, bestial, irrespectueux de la vie humaine, violeur, belliqueux, immoral, légitimant la pédophile dès l'âge de 3,ans, voire zoophile tel ce saoudien tué par son âne qu'il avait tenté de violer, nécrophile, profanateur, inquisiteur et génocidaire. Le législateur lui-même semble aussi souffrit d'un déficience mentale et d'un manque flagrant de discernement en assimilant la phobie de l'islam à un délit de droit commun.
    Il sait bien que l'islamapohobie est un néologisme, un non-sens et une réponse inappropriée à un état de souffrance psychique aux origines exogènes et bien identifiées. Il préfère apporter une réponse pénale à ce qui est d'ordre psychique et dont le traitement relève non pas de la psychiatrie mais de la prévention, en renforçant les moyens de lutte contre la propagation du fléau épidémiologique du virus islamiste. Il s'agit d'une question de santé mentale des citoyens devenus de plus en plus allergiques et réfractaires à l'Islam dans sa version fondamentaliste dont les pouvoirs publics occidentaux en sont de surcroît les meilleurs alliés et paradoxalement les agents de promotion et d'instigation comme en Syrie, la Tunisie, l'Egypte, allant jusqu'à favoriser son implantation dans leurs propres cités-ghettos à dominante musulmane par pur calcul vénal et au mépris du bien-être psychique de leurs citoyens. Inconscients des dommages psychiques que l'activisme prosélyte hyper agressif et envahisseur musulman provoque en toute impunité juridique et politique au sein de leurs propres sociétés. Le crime n'est pas dans les symptômes qui se manifestent chez la population atteinte de la phobie de l'Islam à travers ses traits de caractère actuels, il est essentiellement dans la banalisation du fléau viral wahhabite qui mine les fondements des sociétés occidentales et toutes les autres. Seule l'éradication de ce virus létal pour notre humanité est le remède à tous les maux dont souffre aujourd'hui la majeure partie de la population mondiale.
    L'Islam dans sa configuration wahhabite doit être inscrit aujourd'hui au chapitre des priorités de sauvegarde de l'humanité, sinon il réussira là où le nazisme et le bolchevisme ont échoué et ironie du sort avec l'Occident supposé être l'ennemi invétéré de l'obscurantisme, de la barbarie humaine et du totalitarisme.
    L'Occident cynique en lui faisant le lit et déroulant le tapis rouge aux pieds des tyrans wahhabites ne fat pas que capituler, il renonce à sa propre souveraineté au profit des seuls intérêts de ses classes dominantes qui sont les premières bénéficiaires du nouvel ordre mondial illuminati peu importe le régime politique de son gouvernement tel le Califat, un Reich islamique.
    Les scrupules moraux et le bien-être des populations malades de l'Islam wahhabisé ne sont pas de mise quand il s'agit de satisfaire les seuls intérêts du capital. Mais les stratèges occidentaux ont beau élaborer des scénarios et faire des simulations, ils oublient que la politique n'est pas une science exacte et que cela pourrait leur revenir tôt ou tard tel un boomerang en plein dans le visage. Comme ils ne tiennent pas compte ni de la réaction des populations, sachant toujours trouver des ressources dans leur désespoir ni des forces vives de la communauté internationale peu incline à laisser le soin à d'autres c'est-à-dire aux wahhabites et leurs marionnettistes occidentaux leur imposer un diktat dont le but est d'inféoder le monde entier aux Illuminati.

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  • Mahomet, un fou à lier

    Mohamed, l’imposteur et l’usurpateur, était-il il un schizophrène, un épileptique, un psychotique ou la combinaison des trois ?

    Être secoué par des crises d’épilepsie et entendre des voix  sont symptomatiques de troubles  psychiques, neurologiques  et mentaux.

    Au Moyen-Age et en Arabie pré-islamique, les hallucinations étaient  jugées comme des révélations  prophétiques.

    On le dit  analphabète pour revêtir ces pseudos  d’un vernis divin et les faire passer pour un miracle qu’il ne l’est pas.

    Dieu ou Allah lui parle, lil ne peut pas être l’auteur du Coran, il ne faut que mémoriser ce que Jibril lui a dicté et que lui-même a dicté à ses scribes.

    Une sorte de miracle. Ne sachant pas lire comment peut-on avoir une certitude que ses scribes ont transcrit fidèlement cette parole dont il est le canal transmetteur ?

    Il se contente de leur dicter  ces versets descendus du ciel comme disent les musulmans sans pouvoir vérifier quoi que ce soit, leur laissant toute la latitude de les édulcorer et les déformer.

    Le Coran n’ayant jamais été validé par son transmetteur ni par son auteur, comment peut-on faire croire qu’il est incréé alors qu’il est sujet à caution ?

    Un dieu alibi  de surcroît  de Mahomet comme disait  la petite  Aicha.

    Si ce dieu  existait il n’aurait prefere des gens de la Bible et de la Torah, en les guidant a trouver et a chercher le paradis et le bohheur sur terre, pas l’abime sur terre comme chez les gens de la Chari3a!


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  • Faute de pouvoir éclairer ses adeptes de la vraie lumière de la science et des connaissances, l'islam les a plongés dans l'obscurité la plus opaque de l'ignorance la plus crasse.  Le pire est que les musulmans croient dur comme fer que sans les lumières de l'islam, le monde végéterait encore dans la protohistoire alors qu'ils y sont encore eux-mêmes depuis 1441 ans.

    À trop vouloir se regarder dans leur nombril, ils ne se rendent pas compte qu'ils ont raté les départs de tous les trains du progrès humains. Ils ne figurent nulle part dans le palmarès des progrès humains et des inventions techniques, industrielles, et technologiques . 

    Ils brillent surtout pour leur esprit archaïque et rétrograde. 

    À chaque fois que l'humanité fait un pas en avant ils en font 100 en arrière. Il suffit  d'observer l'état des pays musulmans pour constater que là où l'islam est loi et foi, les conditions de vie humaine sont  intenables et exécrables. 

    Ce n'est pas hasard si les pays musulmans sont en proie à la misère noire et souffrent d'une véritable incurie intellectuelle. 

    Ils brillent surtout par la corruption, la violence terroriste, les inégalités sociales et économiques, les retards de développement, les discriminations sexuelles et religieuses, le fanatisme religieux. Absents  dans tous les classements mondiaux de bien-être humain, de  dépôts de brevets industriels, de recherche et développement, de droits fondamentaux et de libertés individuelles, de la protection de la petite enfance, de la liberté de la presse, etc... 

    Un goulag à ciel ouvert pour leurs populations sans perspectives aucune que les promesses d'un monde meilleur miroité par Mahomet seulement quand ils auront gagné les rivages du néant. La mort plutôt que la vie, la vie dans l'au-delà plutôt que d'oeuvrer pour les générations futures, des mosquées plutôt que des écoles, des hôpitaux et des routes.

    Investir dans la religion plutôt que d'investir dans l'homme. Revenir au passé plutôt que de se projeter dans le futur.

    Force est de constater que l'islam est un véritable frein au développement économique, social, culturel, scientifique, éducatif, technologique,

    "Pour beaucoup d’analystes, le principal responsable de la situation n’est autre que l’islam. «On ne peut pas comprendre la performance économique de ces nations sans la mettre en rapport avec la foi et la culture musulmanes», tranche, par exemple, l’historien de l’économie David Landes dans son livre «Richesse et pauvreté des nations» (1998). Selon lui, le monde islamique a développé un complexe d’infériorité face à la montée de l’Occident, rejetant les inventions européennes telles que l’imprimerie et écartant «les nouvelles connaissances et les idées modernes, soupçonnées de véhiculer des hérésies». Selon Bernard Lewis, de l’université Princeton, l’influence de l’islam est si envahissante qu’elle empêche de nombreux Etat arabes de s’interroger sur les vraies raisons de leur retard. «Toutes les réponses apportées sont religieuses… Si les choses vont mal, nous sommes punis par Dieu pour avoir abandonné le droit chemin», indique-t-il dans son livre «Que s’est-il passé ?» (2002). L’idée que la religion joue un rôle central dans le dynamisme économique remonte à Max Weber et à son fameux traité sur «L’Ethique protestante et l’esprit du capitalisme», publié en 1905."

    https://www.capital.fr/economie-politique/l-islam-est-il-un-frein-au-developpement-economique-610950

    L'islam est  la cause première de tous les maux des sociétés musulmanes. 

    Conditionnés mentalement, psychologiquement et idéologiquement, les musulmans sont bourrés de certitudes qu'ils vont toucher le gros lot après la mort. 

    Pourquoi doivent-ils suer sang et eau alors que Mahomet leur a fait croire qu'ils seront les vainqueurs du jugement dernier qu'il leur suffit pour ce faire suffit d'être fidèles aux préceptes coraniques ? 

    Pour eux la vie terrestre est une parenthèse dans l'éternité de l'homme, un passage éphémère, un épisode évanescent, qui doivent la vivre pas pour eux-mêmes mais pour leur dieu, seul maître et propriétaire de leur vie et de leur choix de vie. 

    Dieu fait, dieu choisit, dieu accomplit, dieu crée, dieu décide, dieu pourvoit, dieu juge, dieu innove, leur dieu est partout, il est tout et l'humain n'est rien. On tue et on se tue pour lui afin de percevoir ses gratifications. 

    Ils aspirent tous à gagner leur place dans son grand bordel que seuls ceux qui payé de leurs biens et personnes y seront élus. Ils ne peuvent pas imaginer et concevoir le monde et s'y projeter en dehors du canevas de l'islam et les bénéfices qu'ils pourraient en tirer dans l'au-delà. 

    Allah n'a rien prévu dans son lupanar lubrique pour les hommes créatifs et inventifs, ce qui est déjà un sacrilège en islam,al-bida'a, cela revient à empiéter sur les prérogatives d'Allah. Il veut des hommes résignés tout voués à sa cause, des êtres zélés et dans le dégoût d'eux-mêmes.

    Pourquoi l’islam est un frein insurmontable au développement

    par Salem Ben Ammar

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  • La pathologie psychiatrique  tunisienne est ancienne, ses symptômes  remontent au début du VIII ème  siècle, le jour où des nuages de sauterelles venues d’un des plus arides et lunaires déserts qui soit au monde avaient déferlé sur ses terres hospitalières et verdoyantes pour les faire ressembler aux leurs
    Devenues depuis des terres peuplées d’ombres humaines, des zombies, de renégats qui ne connaissent de la vie que la mort qu’ils répandent autour d’eux.
    Ce peuple connu pour ses qualités de bâtisseurs et son esprit de conquérant et son amour de la vie se trouve contre son gré et par la force du seul langage de l’épée que connaissent ces envahisseurs ténébreux et charognards, soumis à un nouveau mode de pouvoir absolu axé sur la manipulation mentale, sur la violence psychologique en jouant sur les mécanismes de la peur, la frayeur, la terreur, de la désidentification  et le reniement de soi pour se diluer dans un nouveau moule présenté comme étant une création divine rendant hérétique tout ce qui pouvait rattacher ce peuple à ce qui pouvait présenter la sève de sa vie : sa langue, sa culture et son histoire.  .
    De statut de peuple fier, digne, authentique et debout il a tout perdu, sa liberté, son honneur, sa santé mentale, son équilibre psychique et son identité.
    Traumatisé, malmené, déraciné, en rupture avec lui-même et son histoire, sous l’emprise d’un nouveau pouvoir   suprématiste,  produisant sur lui des effets soporifiques; mystificateur, castrateur, mutilateur, aliénateur, fondé sur l’asservissement et l’avilissement de l’homme, agrémenté par  la négation de la vie et l’anéantissement de l’être pour un hypothétique monde meilleur dans l’au-delà.

    A son corps défendant, il s’est trouvé emprisonné dans un bagne mental dont il lui est impossible de s’évader, se laissant ainsi aller dans un état de désespoir permanent, de renoncement au peuple qu’il devrait être mais qu’il n’a plus la force de le redevenir.

    Embourbé dans un destin que ses maîtres venus du désert lunaire d’Arabie lui ont tracé, il leur obéit comme un esclave obéit à son maitre. Vivant sous la menace permanente de la malédiction qui risque de le frapper et le privant ainsi des prébendes divines promises  si un jour il lui viendra à l’esprit de briser les chaînes qui l’entravent.

    Résigné, découragé, amorphe, inhibé par la peur d’agir, atteint d’une grande paralysie mentale, devenu une sorte de légume au fil des siècles de contamination,  et démissionnaire, tel un toxicomane renonçant au combat pour la vie qui fait de la drogue une solution à ses problèmes, alors qu’l ne fait qu’ajouter des maux à ses problèmes.

    De ses maux, il veut faire un remède, et du remède il en fait une chape de plomb pour trouver une issue à ses problèmes. N’ayant pas appris à réfléchir et à raisonner par lui-même et d’agir dans le sens de l’intérêt commun, il s’en remet à la volonté d’une force imaginaire, supranormale, et mystérieuse pour prendre en charge son destin.

    Comme s’ils faisaient  de son bourreau son sauveur. Il n’est pas simplement atteint du syndrome de Stockholm, il est surtout atteint de cécité mentale, ne se rendant pas compte que l’origine de tous ses tourments est cette substance neuro dégénérative qu’on lui inocule jour et nuit du berceau jusqu’à la mort.

    Au lieu de lutter contre cette drogue paralysante et sclérosante, il se laisse bercer par les illusions des paradis artificiels, hallucinant sur un monde virtuel, pour noyer  l’amertume de sa vie qui n’est pourtant pas irréversible pour celui qui a la force de croire qu’au cœur vaillant rien est impossible et qu’il n’y a pas de victoire  sur soi et sur l’adversité sans effort et abnégation.

    Rendu fataliste et défaitiste par des siècles de surconsommation de cette substance neuro dégénérative, il s’est installé dans les habitudes du désespoir, pour en faire sa voie de salut pour un monde meilleur dans l’au-delà. Toit se passe comme si la résignation à son mal-être est son seul destin sur cette terre. Dépossédé de toutes ses facultés mentales et intellectuelles, vivant dans un univers carcéral castrateur où tout amour pour soi, ses semblables et la patrie qui le nourrit est absolument interdit, passible des feux de l’enfer, il est incapable d’imaginer qu’il puisse avoir un monde que des humains de son espèce ont construit par leurs mains. Lesquels pour y arriver ont mené par eux-mêmes les cures de désintoxication qui furent chez certains très brutales qu’on appelle : révolution.

    Le peuple tunisien a cru avoir fait la sienne, mais ce ne fut qu’une illusion d’optique, il a vite fait de déchanter pour retomber dans ses entraves passées même pire que celles qu’il avait connues jusqu’alors.

    Intoxiqués comme jamais par cette substance néfaste pour le cerveau humain, il a fait une chute en arrière dont il ne semble plus capable de se relever. Après avoir regardé le train de l’histoire dans sa posture d’hommes dont le derrière est constamment rivé au sol, le voilà aujourd’hui allongé de tout son long à même le sol à regarder impuissamment les nuages sombres s’amonceler dans le ciel et qui ne vont pas tarder de se transformer en pluies diluviennes charriant des torrents de boue qui vont le couvrir et muer de sa terre nourricière une tombe à ciel ouvert.

    Lui qui a fait le choix de rester coucher, il doit savoir qu’en adoptant cette posture on ne fait que précipiter sa propre mort et celle de sa patrie. Il pourra toujours trouver une compensation  dans les promesses  abracadabrantes et farfelues que lui ont vendues les dealers de cette substance hallucinogène dont il est accroc.

    Elle est devenue sa seule raison d’être et de vivre, sa seule cause pour laquelle il se sacrifie, il n’y a qu’elle et qu’elle seule qui peut le faire redresser sur ses jambes pour aller faire don de son corps soit pour assouvir l’appétit cannibalique du Maître de son destin soit de satisfaire les pulsions sexuelles des escadrons de la mort combattant dans son sentier.

    Il veut être un peuple élu du paradis plutôt qu’un peuple digne de sa patrie. La patrie n’a pas la faculté de le manipuler et n’attend de lui qu’il donne le meilleur de lui-même pour la construire, or, on ne peut pas demander à un toxicomane, à un anxieux, qui a peur de sa propre ombre  et assommé par des prises incroyables de neuroleptique et d’antidépresseurs de mettre les mains dans le cambouis alors qu’il est convaincu que le  Tant qu’on y croit, plus la couleuvre est grosse plus le mensonge prend les allures de dogme irréfutable que ce peuple abruti et tourmenté par les nuages toxiques polluant ses neurones.

    Perdu, désorienté, ne sachant plus à quel diable  se vouer en provenance  du désert d’Arabie  source de tous ses tourments là où était retourné son ancien Satan avec femme, fils, bagages Louis Vitton et coffres remplis d’or qu’il a volé à son peuple, il avait cru enfin trouver sa voie en étant maître du choix de ses prétendants contrairement à ce qu’il avait connu jusqu’alors où il subissait la volonté d’autrui.

    Ayant trop vite tiré un plan sur sa comète, il a trop vite brûlé les étapes alours qu’il est comme une femme vio


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  • Mon Pays

    S’il me fallait, au monde, présenter mon pays
    Je dirais la beauté, la douceur et la grâce
    De ses matins chantants, de ses soirs glorieux
    Je dirais son ciel pur, je dirais son air doux
    L’étagement harmonieux des mornes bleuissant
    Les molles ondulations de ses collines proches
    L’émeraude changeant des cannes au soleil
    Les cascatelles glissant entre les grosses pierres :
    Diaphanes chevelures entre des doigts noueux
    Et les soleils plongeant dans des mers de turquoise
    Je dirais, torches rouges tendues au firmament,
    La beauté fulgurante de flamboyants ardents,
    Et ce bleu, et ce vert, si doré si limpide
    Qu’on voudrait dans ses bras serrer le paysage

    Je dirais le madras de la femme en bleu
    Qui descend le sentier son panier sur la tête,
    L’onduleux balancement de ses hanches robustes
    Et la mélopée grave des hommes dans les champs
    Et le moulin grinçant sous la lune la nuit,
    Les feux sur la montagne à mi-chemin du ciel.
    Le café qu’on recueille sur les sommets altiers,
    L’entêtante senteur des goyaves trop mûres.
    Je dirais dans les villes, les torses nus et bronzés
    De ceux qui dans la rue sous la dure chaleur

    Mais j’enflerais ma voix d’une ardeur plus guerrière
    Pour dire la vaillance de ceux qui l’ont forgé
    Je dirais la leçon qu’au monde plus qu’étonné
    Donnèrent ceux qu’on croyait des esclaves soumis
    Je dirais la fierté, je dirais l’âpre orgueil,
    Présents qu’à nos berceaux nous trouvons déposés

    Et le farouche amour que nous portons en nous
    Pour une liberté au prix trois fois sanglant
    Et le bouillonnement montant dans nos artères
    Lorsqu’au fond de nos bois nous entendons, l’appel
    Du conique tambour que nos lointains ancêtres
    Ont porté jusqu’à nous des rives de l’Afrique :
    Mère vers qui sans cesse sont tournés nos regards !
    S’il me fallait, au monde, présenter mon pays,
    Je dirais plus encore, je dirais moins encore,
    Je dirais ton cœur bon, ô peuple de chez nous


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