• Aucun verset coranique n'encourage la castration comme tu ne trouveras pas de verset qui encourage la torture cependant Mahomet lui même a torturé. Tu dois savoir que l'islam c'est le coran + les hadiths +la sîra du prophète.

    Mahomet avait une concubine esclave Marie la copte, celle ci avait un esclave copte pour la servir, il y a eu une rumeur comme quoi Marie avait des bontés pour son compatriote, Mahomet envoya Ali pour le sacrifier à Allah mais ce serviteur en tombant de l'arbre où il s'était réfugié montra sa nudité et Ali constata de visu qu'il était châtré aussi ne le tua t-il pas. Ce que Mahomet approuva.

    D'ailleurs j'ai bien dit que Mahomet n'a pas approuvé un de ses premiers musulmans qui voulait se faire eunuque pour l'amour d'Allah.

    Ce ne sont pas des musulmans qui opéraient la castration des esclaves noirs ou blancs
    mais des moines coptes en Égypte.

    Voici ce que dit Wikipédia:

    La castration des esclaves musulmans étant interdite par l'Islam, les eunuques sont importés des territoires non musulmans par la pratique de l'« impôt de sang » : ce sont souvent des noirs (razziés principalement en Éthiopie et dans la région du Lac Tchad), afin que l’on soit sûr qu’aucun d’entre eux ne puisse engendrer un héritier du trône. Ils s'occupent de l'administration du harem. Quant aux eunuques blancs (principalement du Caucase et de Bosnie), ils sont affectés à la garde de cette « prison dorée »1. Après castration par un chrétien copte d'Egypte, ils sont formés à leur rôle futur. Ils sont dirigés par le « Grand eunuque » gouvernant le harem : c'est le troisième personnage de l'Etat après le sultan et le grand vizir2.

    Ils ne sont supposés que veiller à la virginité et au maintien de l’ordre dans le harem. Mais après Soliman, ils vont avoir un rôle essentiel de messagers entre le royaume des femmes et le reste du palais. Ce sont les seuls qui puissent faire la navette entre les deux mondes. Le silence étant imposé dans le harem, ils communiquent par un langage des signes inventé par Soliman.

    Ils doivent souvent faire preuve d’autorité pour séparer des femmes prêtes à s’entretuer pour sauver leur fils d’une mort certaine si leur frère devient sultan (cas d'Hurrem et de la mère de Mustafa qui manquèrent de s'entretuer). Ils se chargent de l'éducation de ces princes héritiers, leur apprennent un métier d'art (orfèvrerie, sculpture du bois) et mettent à leur disposition un harem de femmes stériles.


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